26 juillet 2009
Jean Giono, Pour saluer Melville (Nrf, p. 82)
À six heures du matin, le ciel était clair au-dessus de Grays-Inn. De petits cirrus étaient étalés comme une aile immense éclatante de blancheur dans les élancements d'une aube verte. À chaque instant de nouvelles plumes s'ouvraient, faisant bouillonner...